Rêvons un peu ! Valeur : ''Efficacité'' - Domaine : '' santé'' - Méthode : privilégier l'odorat et recruter les meilleur·e·s - 2 Liens 1) pourquoidocteur.fr article de presse de Sophie Raffin sur les animaux capables de dépister le cancer à l'odeur; 2) claireantoine.com sur l'écologie linguistique

Réflexion et prise de quelques notes à partir du texte de presse (cf lien pourquoidocteur.fr) de Sophie Raffin, de janvier 2023.

                            Optimisation – Compétences - Protection - surveillance

                         Un coup de main bien venu de "nos amies les bêtes’’ 

                              ‘’transformées’’ … en tests de dépistage

Concernant l'odorat, il n'y a pas à hésiter. Parmi "les vivants" qu'il n'est pas nécessaire de rémunérer ( puisqu'ils sont hors du circuit travail/cotisations/retraite donc pas de grèves, pas de revendications ) ni d'entretenir à la façon d‘un objet (même si certains parlent "d'animaux -machines"  😏),  ceux auxquels il faut attribuer la palme, sont ceux que l'on appelait, il n'y a pas si longtemps que ça, "les animaux" ( Souvenons-nous : il y avait le Rat, le Paon, le Lion, le Singe, la Grenouille, le Bœuf, le Chien, le Cheval, le Chat et les autres/Autres...jusqu'aux Fourmis et aux Oiseaux).

En effet, certains d'entre eux, "ont un sens olfactif si développé qu’ils peuvent aller jusqu'à « renifler » le cancer, comme ces fourmis qui, selon une experte scientifique, "bien formées par un apprentissage "associatif’’ du type une odeur/une récompense, détectent une tumeur cancéreuse grâce à l’odeur des urines. Elles se révèlent redoutablement efficaces et fiables - tout ça gratuitement ! Il ne reste plus qu'à vérifier si elles sont aussi performantes avec de l’urine humaine et le tour est joué !  Et il n'y a pas que les fourmis, il y a aussi les chiens ( eux on les utilise plutôt pour la Covid 19), les guêpes, les abeilles qui elles se spécialisent dans le diagnostic précoce du cancer du poumon, de la peau ou du pancréas toujours grâce à l'odeur, mais cette fois-ci c'est celle de l'haleine.

Exemple : La designer portugaise Susana Soares (qui explore la conception d'objets technologiques en interaction avec la science) a mis au point un objet en verre composé d’un grand espace où sont placées les abeilles et d’un second plus petit où le malade souffle. L’air parvient jusqu’aux abeilles. Si elles se mettent à voler en direction de la petite chambre, c’est qu’elles sont en présence de l’odeur qu’elles ont été entrainées à identifier. Elles peuvent être formées à repérer, en plus du cancer, la tuberculose et le diabète.

Raison de plus pour les protéger ! Enfin, certains, les plus réactifs (compétents, efficaces etc.) Il y aura choix.

                                  À court terme des "bénéfices" en cascade :

Plus besoin de coûteuses radiographies, échographies et autres biopsies ... 

Voilà ! Enfin ! Les hôpitaux vont pouvoir établir le planning de leur bloc opératoire, de manière fiable !  

Génial ! Tou·te·s ces ‘’détect·eur·rice·s vivent parmi nous, appartiennent à notre quotidien et gèrent seul·e·s  leur survie.  

Il va falloir repenser aussi le concept de prévention, de veille, de surveillance et l’adapter à cette nouvelle donne.

 NB. Les animaux et les insectes devenus en quelque sorte "des drones fureteurs" , j'ai une pensée émue pour tous ceux qui comme moi ( heureusement que je suis âgée) ont peur "de la blouse blanche", ils vont finir par craindre de voir s'approcher un animal ou un insecte  devenus des auxiliaires médicaux.