Lien avec un article intitulé : L’ironie, la vertu de l'écriture féminine ? de Stanislava Moysova, en 2003
"Doubts". All rights reserved © Christine Lebrasseur pour l'article de Stanislava Moysova, 2003
« Ironie, vraie liberté ! C'est toi qui me délivres de l'ambition du pouvoir, du respect de la routine, du pédantisme de la science, de l'admiration des grands personnages, du fanatisme des réformateurs, de la superstition de ce grand univers, et de l'adoration de moi-même. »
Joseph Proudhon, Confessions d'un révolutionnaire
Ci-dessus l'épigraphe de l'article de Stanislava Moysova qui s'interroge sur la relation entre l'écriture féminine et l'ironie ( dont la femme et les enfants seraient (depuis toujours) dépourvus)
en la mettant en perspective par rapport aux stéréotypes de genre depuis "les origines" : la femme crédule, émotive, bavarde...
et en l'illustrant par la lecture de l'oeuvre de Jaroslava Blaûkovà, auteure de littérature de jeunesse surtout ( connue pour le registre ironique qu'elle utilise dans ses écrits) et journaliste slovaque née en 1933