tjrs à partir de l'écriture ( théâtrale) de BMK
Les termes, en art, ne sont que la traversée des relations.
Seule la pureté d'une forme peut traduire l'étonnement de l'émotion.
L'écriture distribue les rôles selon un espace propre érigé en expérience exhaustive de l'existence humaine =(contradictoire, en principe, car existence qui livrerait tout d'elle-même échapperait à la représentation aussitôt)
Le référent chargé de garantir la réalité du monde est effacé, ainsi que le destinataire, censé se constituer comme sujet qui doit en tirer un profit cathartique et moral.
Il y a oeuvre de langage sans que s'y reconnaisse la sphère du "culturel", les lieuc communs du moment.
L'espace est tjrs intensif.
La présence du corps inscrit aussi à cet endroit son passé et son avenir. Il n'existe aucun monde commun où les trois êtres seraient rassemblés.
Au coeur d'1 même existence, il y a autant de biographes que de lieux définis.
Tous les lieux sont le même.
Nul n'entretient avec lui-même de relation permanente, car pas tjrs dans le même lieu.
Le lieu configure l'action qui ne progresse pas.
Le monologue dessine le personnage qui est un énoncé sans être un sujet.
Un texte sans objet qui donne à sentir les apories d'une situation.
L'oeuvre est une expérience (= tjrs critique)
= faire passer au-dehors qqch qui se dissimulait et qui s'avère être le plus réel.
Elle met à l'épreuve l'apparence pour installer une réalité.
Or pour cela, il faut la radicaliser,
loin de "l'embrouillé" de la naturalité immédiate, elle devient une question sur ce qu'elle est vraiment.
BMK parvient à l'expérience par l'impasse.
Le réel ne s'effiloche pas, il n'y a pas plusieurs probables, elle est impossible et donc existe avec force.
Seule la pureté d'une forme peut traduire l'étonnement de l'émotion.
L'écriture distribue les rôles selon un espace propre érigé en expérience exhaustive de l'existence humaine =(contradictoire, en principe, car existence qui livrerait tout d'elle-même échapperait à la représentation aussitôt)
Le référent chargé de garantir la réalité du monde est effacé, ainsi que le destinataire, censé se constituer comme sujet qui doit en tirer un profit cathartique et moral.
Il y a oeuvre de langage sans que s'y reconnaisse la sphère du "culturel", les lieuc communs du moment.
L'espace est tjrs intensif.
La présence du corps inscrit aussi à cet endroit son passé et son avenir. Il n'existe aucun monde commun où les trois êtres seraient rassemblés.
Au coeur d'1 même existence, il y a autant de biographes que de lieux définis.
Tous les lieux sont le même.
Nul n'entretient avec lui-même de relation permanente, car pas tjrs dans le même lieu.
Le lieu configure l'action qui ne progresse pas.
Le monologue dessine le personnage qui est un énoncé sans être un sujet.
Un texte sans objet qui donne à sentir les apories d'une situation.
L'oeuvre est une expérience (= tjrs critique)
= faire passer au-dehors qqch qui se dissimulait et qui s'avère être le plus réel.
Elle met à l'épreuve l'apparence pour installer une réalité.
Or pour cela, il faut la radicaliser,
loin de "l'embrouillé" de la naturalité immédiate, elle devient une question sur ce qu'elle est vraiment.
BMK parvient à l'expérience par l'impasse.
Le réel ne s'effiloche pas, il n'y a pas plusieurs probables, elle est impossible et donc existe avec force.