Relais Cmdh - Metz : Rassemblement de soutien à Julian Assange, Samedi 3 juin 2023 à partir de 14h30 au Parvis des Droits de l'Homme ( de l'autre côté de la rue du côté de l'entrée du Centre Pompidou).
Bande annonce du film Hacking Justice - Julian Assange Programmé au Klub à Metz, le 13 juin
Cela fait plus de quatre ans que Julian Assange est dans une prison de haute sécurité, à Belmarsh près de Londres, sans être jugé.
2 dates : samedi 3 juin et mardi 13 juin 2023
Le samedi 3 juin : rassemblement à partir de 14 h 30, au Parvis des droits de l'homme
Pour celles et ceux qui ne l'ont pas encore vu...2ème projection, le 13 juin, de Hacking Justice Julian Assange, au cinéma le Klub à Metz
Le documentaire sera précédé de la présentation du documentaire et sera suivi d'un débat.
Le texte ci-dessous est tiré du livre de Nils Melzer, l'ancien rapporteur de la commission "torture" à l'ONU :
"Quatre états ont conjointement exposé Assange à diverses formes de mauvais traitements dont les effets cumulés équivalent à de la torture psychologique".
Le cas de Julian Assange est particulièrement important, parce qu'il crée un dangereux précédent et montre des défaillances systémiques (...)
Dans les cas de Julian Assange, ce qu'on appelle les démocraties occidentales matures font systématiquement fi des lois et portent directement atteinte aux droits constitutionnels fondamentaux indispensables à tout système démocratique : l'interdiction de la torture, la liberté de la presse, la présomption d'innoncence et le droit à un procès équitable.
Ceux qui justifient leur propre indifférence en évoquant des "cas plus graves" commettent une erreur fatale qui nous coûtera cher à tous.
Au mieux, ils ne voient pas ce qui est réellement en jeu ici:le fameux "éléphant au milieu de la pièce"". Au pire, ils font délibérément l'autruche alors que le journalisme d'investigation est systématiquement criminalisé, persécuté et anéanti. Ils ne sortiront la tête du sable que le jour où ils seront eux-mêmes arrêtés arbitrairement, réalisant alors qu'il n'y a plus personne pour parler en leur nom."