''Le grand Tout'', son avenir et ses réseaux, avec des références. Deux liens 1) sciencepo.fr Le Covid 19, catastrophe naturelle ? de Sandrine Revet; 2) be-virtual.ch "ubiquité" de NDuplain
Le Covid-19, catastrophe naturelle ? Entretien
Sandrine Revet : Cette question a plusieurs réponses. Elle est intéressante dans la mesure où elle nous invite à penser comment l'on " cadre " un tel événement et ce que cela peut avoir comme...
https://www.sciencespo.fr/ceri/fr/content/le-covid-19-catastrophe-naturelle-entretien
Le terme ubiquité définit la capacité d'être à plusieurs endroits en même temps. Cette capacité est essentiellement attribuée à des divinités dans diverses religions et mythologies. Mais ...
Conclusion antéposée pour les impatient·e·s
Donc, bref, c'est super, les penseurs d'aujourd'hui ou plutôt récupérés pour aujourd'hui le disent, ( si je comprends bien, mais je sais que je ne comprends pas tout bien) c'est inéluctable, tout doit se réduire au grand tout. Et donc que penser que les "gens " ont des droits c' est tellement dérisoire !!!!. Heureusement qu'il y a les Epahd, pour la fin, je veux dire ...Mais on va se battre...🙄
Des outils et des principes
Les références : Darwin, Malthus, Teilhard de Chardin, Mac Luhan et leurs "applications" en réseaux : - En physique, le phénomène de coalescence selon lequel deux substances identiques, mais dispersées, ont tendance à se réunir. - Darwin, qui disait que l'homme n'était qu'un animal parmi les autres. - Teilhard de Chardin, le jésuite du groupe, reprend la notion de "point Oméga", pôle d'attraction ultime, du développement de la conscience (comme résultat des interactions et activités humaines) vers lequel se dirige l’univers . - Pour Mac Luhan, tout est à penser en réseaux.
La preuve par 9 : Mais... Vous voyez bien que le monde est global, d'ailleurs, on y parle le globish.
L'annonce, il y a quelques jours, de la condamnation de l'Etat français par le tribunal administratif de Paris pour ses "carences fautives" en matière de lutte contre le changement climatique, fait repasser au premier plan les thèmes écologiques, sans pour autant occulter le coronavirus 2019 et ses variants 2020/21, puisque selon, entre autres, l'écologue de la santé, Serge Morand, il existe un lien indiscutable entre le réchauffement climatique, la destruction de la biodiversité et la pandémie. La crise du Covid est, selon lui, "une crise écologique".
De plus, cette crise, ce brusque accès, ce trouble profond, mais passager - dont des graphiques nous montrent pourtant la narrative linéarité - qui connaîtra ses pics et ses vagues successives ( aux surfeurs de détecter leur potentiel... ) avant un retour à la "normale" - crise qualifiée aussi, de façon plus réductrice de "sanitaire", nous donne tous les jours la preuve que tous les humains sont devenus frères, en quelque sorte et comprennent qu'ils doivent "se donner la main" : grâce à quoi, et "en même temps" en conséquence de quoi, le monde est global. Une sorte d'aller-retour, de "tout est dans tout et réciproquement" vertueux😅
En 1967, McLuhan, reprend tout ça ( les écrits de ses prédécesseurs chronologiques) à sa manière, en parlant d'un "Village planétaire" ( "Global Village") dont les habitants seraient unis par les moyens de communication audiovisuelle. Avec internet pour tous et le smartphone, le caractère instantané s'est encore, depuis, accentué. À n'importe quel endroit de la planète chacun a l'impression de vivre dans un même temps et dans un même espace. On s'occupe tous les uns des autres, par l'intermédiaire des images, fixes "photos" ou articulées "vidéos". On interagit avec You Tube, Twitter, Instagram, Snapchat ... Les informations, les "data", véhiculées par les médias fondent ainsi les sociétés en une seule communauté, un seul "village" virtuel où se croisent toutes les "transactions" possibles aussi bien financières que ... psychologiques, où tout se sait et tout se voit ( Dire que j'ai refusé il y a 40 ans de vivre dans un village pour, justement, ne pas être potentiellement vue à chaque instant de ma vie depuis tous les rideaux de fenêtres😉 ! Toutefois (comme l'explique en 1973, dans son livre, Une société de l'ubiquité, le sociologue Jean Cazeneuve) ..., tout est à penser à l’échelle du monde et en réseaux.
On peut aussi ajouter Teilhard de Chardin, (1881-1955) qui annonce la globalisation/planétisation en développant la notion de noosphère pour désigner l'idée d'une « pellicule de pensée enveloppant la Terre, formée des communications humaines ». Il pense le « phénomène humain » comme constituant une étape de l'évolution ( où il se sert aussi de Charles Darwin (1809-1882)) qui conduit au déploiement de la noosphère et à son "point Oméga", en vue de l'avènement du "Christ cosmique". Ce serait une ère d'harmonisation des consciences fondée sur le principe de la « coalescence des centres » : chaque centre, ou conscience individuelle, est amené à entrer en collaboration toujours plus étroite avec les consciences avec lesquelles il communique, celles-ci devenant à terme un tout dit "noosphérique".
La conclusion retrouvée pour bouclage classique ...
Donc, bref, c'est super, les penseurs d'aujourd'hui ou plutôt récupérés pour aujourd'hui le disent, ( si je comprends bien, mais je sais que je ne comprends pas tout bien) c'est inéluctable, tout doit se réduire au grand tout. Et donc que penser que les "gens " ont des droits c' est tellement dérisoire !!!!. Heureusement qu'il y a les Epahd, pour la fin, je veux dire ...
Mais on va se battre...🙄 ( à suivre)