Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... Ainsi vont les choses ! avec 2 liens lien 1) un extrait video you tube de ''Comme une reine'' sketch du film italien ''Les Nouveaux Monstres'' ( 1977); lien 2 - article Wikipedia sur le panta rhei ( tout s'écoule, change...)

Publié le par Claire Antoine

 Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... Ainsi vont les choses ! avec 2 liens  lien 1) un  extrait video you tube de ''Comme une reine''  sketch du film italien ''Les Nouveaux Monstres'' ( 1977); lien 2 - article Wikipedia sur le panta rhei ( tout s'écoule, change...)

                                                                      Πάντα ῥεῖ ! (Panta rhei)

 

En ce moment le monde politico-journalistique nous rebat les oreilles avec le "réalisme politique", la realpolitik « la politique étrangère fondée sur le calcul des forces et l'intérêt national » pour faire passer le fait que le mantra des " droits de l'homme" avec tout ce qu'il sous-entendait comme fierté, comme  engagement à devenir meilleurs, plus "humains", toujours du côté du plus petit, du plus vulnérable, serve de moins en moins de "modèle". 

À partir de maintenant, d'abord, quand tu dis "droit de l'homme", tu expliques gêné·e que "homme" veut dire "humain" et même "vivant" puisque nos amies les bêtes ont aussi une sensibilité, qu'elles communiquent et souffrent comme nous, quand elles sont maltraitées et que les végétaux se portent mieux quand on leur parle. Bref tu te dépatouilles comme tu peux, sous les yeux goguenards de ceux qui - c'est ce que tu penses - t'accuseraient presque de ne pas aimer les animaux ni les plantes, alors que tu fais pousser du thym, auquel tu chantes une comptine tous les matins, que ta mère a un jardin et que tu as un chat, un chien, un oiseau et que tu ne tues ni les moustiques ni les guêpes, même quand iels te piquent.

Enfin, tu ne peux pas expliquer tout ça chaque fois. Alors tu baisses un peu la tête, comme une coupable et en fait, le plus souvent forcément, "la conversation", (le "débat") va s'arrêter là. 

Mais, si tu t'en sens la force, tu peux te redresser et tenter d'évoquer, sans t'emporter ( parce qu'attention ! les femmes - ayant un utérus - restent potentiellement des hystériques qui crient parfois et c'est pas beau à voir, ni à entendre !!!) tenter d'évoquer, donc, les droits des opprimés, de ceux qui vivent sous le "seuil de pauvreté", de Julian Assange, des "dissidents" politiques, les droits des journalistes, des reporters que tu associes aux notions de "liberté", d'égalité, de fraternité. 

Là, tu ouvres les yeux et tu comprends que tout ça c'est, aujourd'hui, devenu (ou redevenu) une vaste blague, que c'est bon pour quand il n'y a pas de choses sérieuses, importantes à traiter.

Et la realpolitik c'est ça. C'est le sérieux ! 

Si j'ai bien compris, (mais je suis un peu dure de la feuille et surtout d'une génération dont les parents n'ont pas mesuré les conséquences de leur vie sexuelle orientée vers la procréation. P...! On est trop nombreux, aujourd'hui, les babyboomeurs, carnivores, au mieux "flexivores", à surcharger les EPAHDS ), si j'ai bien compris, donc, les "nouvelles valeurs" nous conduisent à déconstruire le concept des droits de l'homme pour en arriver à donner une visibilité positive à celui d'opportunisme. D'ailleurs on commet tous des erreurs, pas toi, peut-être ? Tu n'aimes pas être pardonnée quand tu as fait une bêtise, même une grosse ? Tu n'aimes pas qu'on les oublie ? Hein ?  

Alors, crois-moi, mets un mouchoir sur tes principes à la con. Tu veux être chauffée cet hiver et l'hiver prochain ? Tu veux encore pouvoir arroser les plantes médicinales que tu fais pousser dans la jardinière que gardes à l'ombre sur le bord de ta fenêtre ? 

Alors tais-toi. Être opportuniste, c'est la plus grande des qualités, c'est savoir faire la part des choses d'autant que les politiques ne sont pas opportunistes pour eux ! Mais pour toi, pour le peuple, pour la société toute entière, pour les 200 pays de la planète. Ils sont élus ou nommés pour ça.

Continue à rêver et à réfléchir à ce que je te dis : Il faut savoir mourir à temps. Mais non ! Comme tu y vas, je ne parles pas d'euthanasie Non !  Mais, quand tu ne comprends plus, tu pars. C'est tout simple.  

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