Quelques pistes (non organisées) de réflexion sur l'acte de "traduire"
Il existe environ 5 000 langues différentes aujourd’hui dans le monde. Il y a entre 50 et 200 souches sans rapport entre elles. Un humain sur deux environ parle une langue indo-européenne. La langue indo-européenne, la plus connue, date d' environ 3 000 ans avant notre ère,
( au moment de Babel où un peuple unique se divise : diversité des langages formation de différents peuples ).
Unité linguistique relative, car si la souche est la même, le russe ou l’arménien est tout aussi incompréhensible pour un Français, que le basque ou le hongrois, langues non indo-européennes. ce qui implique la traduction pour pouvoir se comprendre et, ainsi, communiquer.
La Bible est le premier témoin de cette séparation et aussi le premier
livre à être traduit dans les langues usuelles, vernaculaires.
Doit-on considérer la traduction comme nécessaire?
Y a-t-il une façon de traduire ?
La traduction est-elle un phénomène naturel?