Je préfère parler de ça plutôt que d'autre chose... Enseignement- '' Où sont les ( je préfère prévenir, il n'y aura aucune réponse) pièges d'un enseignement quasiment sans sélection avant 17/18 ans ? ''- Liens : 1. cincivox ''La mort du bac...''( 2021) suivi de 2. Sélection à l'université ( 2017) et extrait du Monde
La mort du bac, l'enterrement de l'école
On achève le bac comme on met à mort les chevaux dans les westerns : une larme à l'œil et une balle dans la tête. Le tout dans un silence incroyable. Alors que la fin du baccalauréat national...
https://cincivox.fr/2021/07/05/la-mort-du-bac-lenterrement-de-lecole/
Résultats exceptionnels pour le Bac 2021
Bac général : 98,4% ( dont 94,8% admis avant rattrapage). Seuls 3,6% des élèves ont donc mobilisé le corps professoral auquel ( selon les matières) il n'a peut-être pas fallu plus d'une demi-journée pour remplir sa tâche.
Bac technologique : 95,7% et Bac professionnel : 90,7%.
Copié/collé d'un article du Monde 2020
( avec en intro un extrait d'article publié le 10 juillet 2021- Mis à jour le 10 juillet 2021 )
Avec un taux de réussite de 93,8 % après rattrapage, le bac de 2021 est en légère baisse par rapport à celui de 2020 : "Près de 94 % des candidats ont été reçus au terme de la première session de rattrapage, en légère baisse par rapport à 2020, qui avait été une année record.
"Au soir de la communication de ces chiffres, l’éducation nationale s’est voulue rassurante. « Comme on s’y attendait, il y a plus d’admis puisque c’est le contrôle continu, a déclaré le ministre Jean-Michel Blanquer sur BFM-TV. Le fait qu’environ neuf élèves sur dix aient le baccalauréat n’est pas choquant en soi. » (...)
(Je précise, culpabilitivement pour ma part, que seuls les ringards ( fachos) adeptes du "c'était mieux avant" genre mythe de l'âge d'or ( hahaha !) seraient assurément susceptibles de s'en émouvoir.)
"« Bienveillance » des jurys Dès l’annonce de l’annulation des épreuves et l’attribution du diplôme au contrôle continu, au plus fort de la crise sanitaire le 3 avril, le ministère de l’éducation nationale avait réclamé la « bienveillance » des jurys face à des candidats confrontés à des modalités inédites d’examen. Ils devaient exceptionnellement « pré-harmoniser » les notes de chaque établissement en fonction de leurs résultats attendus, pour éviter de pénaliser les élèves notés sévèrement pendant l’année. Puis, procéder à l’étude habituelle des « cas limites », et attribuer quelques points supplémentaires pour envoyer tel candidat au rattrapage ou donner à tel autre sa mention. Des jurys académiques devaient enfin, pour chaque filière, s’assurer de la cohérence de l’ensemble."