À lire - Le dernier essai de Regis Debray, son ''abécédaire" : ''Où de vivants piliers'' : Hommage à tous les écrivains dont il est ''redevable'' . Parmi eux il y a ''les maisonnables'' : 3 liens 1) interview Régis Debray, Podcast france culture et ''territorialisation, démonstration'' : 2) Patrimoine littéraire – La Lorraine des Ecrivains (univ-lorraine.fr); 3) La Maison de Verlaine à Metz
Régis Debray nous parle de son dernier essai paru sous forme d'abécédaire, "Où de vivants piliers", dans lequel il rend hommage à ses aînés, aux maîtres, proches ou plus lointains, qui l'on...
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/repliques/vivants-piliers-9199413
''Pour Régis Debray il y aurait deux sortes d'écrivains les "maisonnables" et les autres.''
Belle citation de Diderot trouvée sur Patrimoine littéraire – La Lorraine des Ecrivains (univ-lorraine.fr)
« Une sorte de reconnaissance délicate s’unit à une curiosité digne d’éloge pour nous intéresser à l’histoire privée de ceux dont nous admirons les ouvrages. Le lieu de leur naissance, leur éducation, leur caractère (…), tout ce qui les concerne arrête l’attention de la postérité. Nous aimons à visiter leurs demeures (…). »
La Maison de Verlaine à Metz
copié/collé du site Patrimoine littéraire – La Lorraine des Ecrivains (univ-lorraine.fr)
"En 2011, une association de passionnés du poète maudit ouvre au public dans la maison natale de Paul Verlaine (2 rue Haute-Pierre à Metz), un vaste appartement bourgeois au 1° étage, un univers recomposé à la gloire de l’homme de lettres. La visite se décline autour de quatre pièces d’exposition et d’un accueil-librairie, en cherchant, dans une perspective chronologique, à retracer l’itinéraire biographique et poétique de l’auteur, à partir d’une collection d’objets qui constituent autant d’images de l’écrivain, de marqueurs identitaires. Une des pièces est consacrée aux origines lorraines du poète, à son enfance à Metz, son « berceau fatidique » et renvoie le public aux Souvenirs d’un Messin (1892), texte dans lequel Paul Verlaine exprime son attachement émotionnel aux lieux de sa jeunesse :
« Je revendique d’autant plus ma qualité de Lorrain et de Messin, que la Lorraine et Metz sont plus malheureux, plus douloureuses. Et, j’aime Metz et je m’en souviens quelque peu, ayant sept ans quand je la quittai pour Paris… ces vagues bribes de réminiscences puériles me sont plus précieuses, plus chères, que bien de plus sonores et fanfarons rappels de mémoire… ».
Extrait en écho à son long poème « l’Ode à Metz » repris en partie dans les Confessions qui distille les lieux emblématiques de la ville comme la citadelle, la porte Serpenoise ou encore la cathédrale" :